Surpoids et obésité de l’enfant/ adolescent
Surpoids et obésité de l’adulte – Bilans et suivi en chirurgie bariatrique
Prise en charge nutritionnelle des personnes atteintes de cancer
Retrouver une silhouette harmonieuse pour pallier les pathologies associées au surpoids et à l’obésité (diabète, hypertension, maladies cardiovasculaires…) gérer les Troubles du Comportement Alimentaire.
Aider les enfants à modifier ses comportements tant sur le plan alimentaire que sur celui de ses activités physiques et du sommeil (Pas de régime !!!)
Apprendre à pallier les effets secondaires des traitements de chimio et radiothérapie. Combattre la dénutrition ou faire face à la prise de poids hormono-induite.
Savoir adapter son alimentation aux besoins physiologiques induits par les différentes phases d’entrainement. Définir la stratégie nutritionnelle en compétition.
Spécialiste de la prise en charge de l’obésité adulte / enfant
Chargée de Projet Obep PACA (Prévention et prise en charge de l’obésité pédiatrique – Nice CHU/ Fondation Lenval)
Diététicienne – coordinatrice pour le plan Obépédia PACA
Membre de l’APOP, du Groupe de réflexion diététique du CNRéPPOP
Affiliée AFDN et ADL
Pour mener une vie plus saine, je vous propose des cours de cuisine santé
Les conseils dont vous avez besoin. Je peux également venir chez vous afin de faire ensemble un inventaire du contenu de votre frigo et de vos placards avec des explications.
Ce n’est pas parce que vous souhaitez manger sainement que vous devez être affamés ou adopter une alimentation ennuyeuse et sans saveur!
Interview de Jean-Philippe Zermati – Psychothérapeute et Nutritionniste – Cofondateur du G.R.O.S par Rémy Dybowski Douat (LSD – France Culture)
« Toutes les études permettent d’affirmer que les régimes ne permettent pas de faire maigrir durablement ; on a des pertes de poids sur 2 – 3 ans avec reprise de poids, et avec, dans 40% des cas un rebond pondéral. On sait tout cela depuis 60 ans ! Donc, il ne peut plus y avoir de discussion sur l’efficacité à moyen et long terme.
Le principe du régime est de manger moins en instaurant un contrôle mental ; Personne n’arrive à tenir dans la durée (c’est physiologiquement quasiment infaisable). Comment faire pour manger moins sans instaurer ce contrôle ?
Lutter contre l’envie de manger détériore tous les systèmes cérébraux qui régulent les envies de manger. Plus vous lutter contre cette envie, plus celle-ci augmente. La solution : se focaliser sur la personne. Qu’est-ce qui l’empêche d’éprouver un plaisir capable de faire disparaître cette envie. Généralement, c’est qu’elle ne s’est pas autorisée à manger ce qui lui faisait envie ; soit qu’elle n’était pas attentive, ou elle n’a pas pu le manger avec un plaisir serein (peur, culpabilité…). Comme si le plaisir ne fonctionnait pas. D’où le problème des
écrans et des distracteurs de notre cerveau, des histoires que l’on peut se raconter à propos du repas (Kcal, puis-je, est-ce gras, trop sucré pour moi… ?). Cela capte l’attention de manière très puissante et empêche de revenir sur les sensations alimentaires. Il n’y a sensation de rassasiement que si l’attention porte sur les sensations alimentaires.
L’élément dont se nourrit principalement la tumeur, mais également le corps (et notamment notre cerveau), est le sucre. Cependant, même en l’absence d’ingestion de sucre, tous les deux s’adapteront : les réserves en sucre seront utilisées tout comme d’autres sources d’énergie de l’organisme. « Affamer la tumeur » est donc un faux message et peut être dangereux en affaiblissant le corps qui a besoin d’énergie pour lutter contre le cancer.
Toute prise de compléments alimentaires sans prescription médicale est à éviter. En cas de carence médicalement démontrée, ils peuvent être prescrits. Un surdosage en vitamines, minéraux ou antioxydants comporte des risques : il peut diminuer l’efficacité́ des traitements ou encore aggraver les conséquences du cancer. De plus, les compléments alimentaires peuvent modifier l’action de médicaments classiques et provoquer des effets secondaires non négligeables.
L’ail pourrait avoir un effet préventif. Cependant, durant le cancer, il ne semble pas avoir d’influence sur le développement de la tumeur. Il réduirait même l’effet de certains types de traitements ou augmenterait leur toxicité.
Le ginko pourrait atténuer des lésions des vaisseaux sanguins provoquées par les chimiothérapies, mais il augmenterait la toxicité de certaines d’entre elles. Il aurait également des propriétés antioxydantes, mais sa consommation lors de radiothérapie est fortement déconseillée, car ce traitement cherche à détruire les cellules cancéreuses en les oxydant.
La valériane permettrait de soulager les troubles du sommeil et aurait des propriétés anti-oxydantes. Tout comme le gingko, elle interférerait de façon dangereuse avec certaines chimiothérapies et ne devrait pas être consommée lors de radiothérapie enn raison de ses propriétés anti-oxydantes.
Le ginseng semblerait diminuer les effets secondaires des chimiothérapies et la fatigue. Toutefois, il augmenterait la toxicité de certaines d’entre elles et favoriserait la croissance de la tumeur des cancers hormono-dépendants.
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